Le mystère sacré du Tore et du Graal

Un vortex s’ouvre au sommet et à la base de la sphère, créant ainsi un canal qui traverse son centre. Ce canal suit la géométrie d’un double vortex : large à la périphérie, se rétrécissant pour former un hyperbole—un saladier énergétique au cœur de la sphère.  

Dans la tradition ésotérique chrétienne, cette hyperbole est la base géométrique du Graal. Le corps humain, en tant que Coupe du Graal, reçoit le flux divin : céleste par la couronne et terrestre par l’abdomen. Ce flux génère une circulation en forme de torus ou tore, traversant notre canal central.  

La pratique d’activer notre champ énergétique pour devenir un calice du Graal est presque oubliée, mais elle existe encore dans les axes des chakras. Le tore, sous ses différentes formes, révèle des réalités dimensionnelles supérieures.  

Un hypercube en quatre dimensions peut apparaître comme une étoile à huit branches ou une sphère dans une sphère. L’hypersphère en 4D, projetée en 3D, devient un tore. Ce tore est l’ombre tridimensionnelle de l’hypersphère supérieure, un archétype spirituel de la création. 

Le tore est lié au concept moderne d’hyperespace. Des portails de l’hyperespace, comme les points d’Einstein-Rosen, pourraient relier des points éloignés dans l’espace-temps. Certains théoriciens suggèrent que les trous noirs, où la gravité crée des distorsions de l’espace-temps, mènent à de nouvelles créations dans l’espace-temps physique. 

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